La lampe halogène et ses accessoires d’éclairage

La lampe halogène et ses accessoires d’éclairage

22 août 2018 Non Par Hélène Tierse

La lampe halogène a été une évolution importante dans la façon d’utiliser l’éclairage. Cependant, il a fallu habiller ces lampes halogènes pour pouvoir les intégrer de façons moins rigides à nos environnements.

Les appliques

On nomme de cette façon tout accessoires qu’on fixe sur d’autres pour les rendre plus agréables à voir, on les emploie, en serrurerie, il y a les rosaces en cuivre repoussé ou en fer forgé qui seront considérées comme étant des appliques. Sur les vêtements de dames, on utilise des appliques en broderie… Une applique pourra être un bras fixé sur les murs ou cloisons d’une pièce pour recevoir le point de départ de l’éclairage. Le XVIIIe siècle nous a laissé de délicieuses appliques en cuivre ciselé. La progression du luminaire a peu à peu changé la forme des appliques en employant d’abord la forme de bougie fonctionnant à l’électricité, qui sera un compromis entre la lumière d’avant et l’actuelle. Actuellement, les formes varient en fonction des points de départ d’éclairage, et spécialement l’emploi de la lampe halogène fluorescente, permettra de faire des appliques extrêmement diversifiées.

Diffuseur ou abat-jour

Accessoire ayant pour but de répartir l’éclairage d’une manière égale et de diminuer les ombres, il permettra d’avoir une lumière agréable. Car, les modèles les plus élémentaires de diffuseurs peuvent être faits par des enveloppes en verre opale de styles variées. Les diffuseurs spéciaux sphériques, diffusent une lumière mixte et seront d’un emploi un standard. Il sera bon de ne pas les employer avec une ampoule de puissance trop médiocre, 40 W sera un minimum. Pour les lumières ponctuelles, on pourra prendre en compte des petits diffuseurs, leur emploi sera très utile, notamment au-dessus des lavabos, des éviers… Un modèle pourra se mettre sur les lampes équipées de lyres. Lampadaires ou torchères, vases ou potiches…

Masqué par un abat-jour, il ne dénature pas le look de la pièce. Il permettra d’avoir simplement une lumière semi-indirect extrêmement plaisante à la vue. Dans d’autres cas, les diffuseurs seront construits dans des matières comme le verre dépoli, le Rhodoïd… Leur emploi sera courant avec la lampe halogène, à incandescence ou fluorescentes, en raison des améliorations de lumière qu’ils apportent.

L’éclairage peut être un problème qui peut se poser à tout le monde

La correction optique

Il sera rare qu’une pièce (à moins qu’on l’ait construire spécialement) soit de dimensions excellentes pour un éclairage optimisé. Est-il envisageable de remédier à ces imperfections sans entreprendre de gros travaux ? Oui, assurément, il y a quelques manières de les dissimuler par la teinte, la lumière ou des agencements décoratifs. Imaginons une pièce dont les tailles ne vous correspondent pas. Par exemple :

La pièce à éclairer est très haute.

Peignez le plafond et le haut du mur, sur une bande de 30 centimètres à peu près, d’une teinte foncée. N’employez pas de papier ou de tissu à rayures verticales qui l’allongeraient de plus belle. Sélectionnez une surface foncée par-terre.

Posez une lumière sous la retombée du plafond, ou bien construisez un faux plafond suspendu, en lattes de bois, carreaux d’Isorel ou staff, dans lequel sont dissimulés les tuyaux, où sont percés les hublots comblés par les spots éclairant la pièce. Un faux plafond pourra aussi servir à placer ce dont on ne se sert guère : les bagages, notamment.

Si cette pièce n’est pas très haute

Peignez le par-terre et le plafond d’une teinte lumineuse. Mettez une autre teinte pour les murs, songez aux rayures verticales pour le papier et les rideaux. Supprimez corniches et baguettes qui réduiraient de fait, la hauteur.

Si la pièce n’est pas très grande

Donnez une unité de ton à la pièce. Car tout devra être harmonieux pour qu’on éprouve un sentiment de bien-être.